La toiture

La toiture était initialement prévue en Zinc, mais le choix d'un contreplaqué marine, traité avec un vernis bateau s'est imposé, pour des raisons d'isolation à la chaleur, d outillage, de savoir faire, de coût... Le résultat pour une bonne étanchéité est garantit dans les deux cas.


 

Les liteaux sont positionnés de façon à être fixés sur la structure en pin, mais aussi à la jonction de  deux plaques de C.P.



Des taqués de fixation sont placés en prévision d' une planche de rive.



Le contre-plaqué, a été au préalable découpé, et vernis en atelier.



Les plaques sont fixées avec de la visserie inox, et un joint au mastic colle est réalisé à chaque jonction.



Un couvre-joint vient est positionné sur cette jonction.



Un joint au mastic-colle vient s'appliquer sur le pourtour du couvre-joint.



Une pièce de cèdre vient solidariser le toit sur la rive.



Un contre-plaqué vient habillé les pignons.



Je passe sur place deux autres couches de vernis.



.........................................................................................................................................................

Malheureusement, je n'ai pu passé le nombre requis de couches de vernis, il aurait fallu en passer au moins cinq ou six couches. Mon arrêt de six mois, un automne et un hiver, m'ont permis de m'en rendre compte. voici le résultat à mon retour.



Après ponçage j'aurai pu le vernir de nouveau, immortaliser la belle patine qu'avais pris le toit. La couleur me plaisait même plus qu'au début. Mais la peur que le vernis ne tienne pas m' a fait opter pour une bonne peinture. Trois couches est bien le minimum.



Il faut laisser passer un peu de temps pour que le toit se patine, et s'intègre mieux.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire